Dimanche 8 mars 2020, associations féministes, femmes, personnes LGBTI, ont défilé à Nantes (France) à l’occasion la Journée Internationale pour les Droits de Femmes, pour dénoncer la société patriarcale, le sexisme ainsi que les violences (dont les féminicides) dont les femmes sont victimes.
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Samedi 7 mars 2020, la veille de la Journée Internationale pour les Droits de Femmes, le mouvement « Toutes En Grève 44 » (regroupant des collectifs féministes et des femmes à titre individuel) a organisé une marche féministe nocturne non-mixte (sans hommes cisgenres) dans le centre-ville de Nantes.
L’idée des participantes était de « reprendre un espace qui d’habitude nous est plus ou moins confisqué, qui est conçu pour et par les hommes ».
Le cortège, bien déterminé s’est violemment fait repoussé par les forces de l’ordre au niveau du cours Saint-Pierre.
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Samedi 7 mars 2020, à la veille de la Journée Internationale pour les Droits des Femmes du 8 mars, les syndicats ont organisés une manifestation à Nantes pour dénoncer les inégalités salariales entre femmes et hommes et pour dénoncer le projet de réforme des retraites qui selon eux va précariser davantage les femmes.
Les « Rosies » militantes d’Attac ont réalisé un happening durant la manifestation
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Samedi 29 février 2020 entre 1.500 et 2.000 personnes ont défilé à Nantes (France) contre les grands projets inutiles prévus en région des Pays-de-la-Loire en Loire-Atlantique tels que le Surfpark de Saint-Père-en-Retz, le port de plaisance de Brétignolles-sur-Mer ou le projet de grande surface à Sainte-Pazanne.
Les manifestants entendent « stopper la logique de bétonisation, de métropolisation, de précarisation, de gentrification et de croissance économique »
Des tensions se sont produites entre manifestants Radicaux (zadistes et black blocs) et forces de l’ordre.
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Vendredi 28 février 2020, une cinquantaine de personnes ont mené une action à l’appel de collectifs féministes devant le cinéma Gaumont de Nantes pour protester contre les 12 nominations du réalisateur Roman Polanski à la 45ème Cérémonie des César qui se tenait le soir-même salle Pleyel à Paris.
Roman Polanski est accusé de viol par plusieurs femmes et s’est soustrait à la justice, raison pour laquelle les féministes, dans le sillage du mouvement #MeToo, n’acceptent pas que réalisateur soit récompensé.
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